Toujours en quête de moyens, les parents n’ont plus le temps nécessaire pour éduquer les jeunes. Bientôt une année entière sans pouvoir aller à l’école : la plupart des adolescents haïtiens n’ont que les réseaux sociaux comme principaux formateurs. Exposés à fantasmer sur d’autres réalités, ils ont souvent du mal à se valoriser et à se projeter dans leur monde réel.